Auteur: Linwood Barclay
Editeur: Belfond – 23 janvier 2025 (432 pages)
Lu en janvier 2025
Mon avis: A peine âgé d’une dizaine d’années, Jack voit son père emmené par les US Marshals, et englouti dans le programme de protection des témoins.
Des années plus tard, Jack est devenu un écrivain dont les livres connaissent peu de succès. Constamment fauché, il ne résiste pas quand son agent lui soumet une offre rémunératrice : écrire des récits de vie pour ceux qui se voient attribuer une identité créée de toutes pièces, dans le cadre du programme de protection des témoins et pour le compte des US Marshals. Hasard ou coïncidence, Jack se pose bien la question, mais il voit surtout là une occasion inespérée de retrouver la trace de son père, dont il ne sait toujours pas ce que la justice lui reprochait et la nature de la menace qui pesait sur lui.
Sans s’en douter, Jack s’embarque dans une histoire dangereuse, dans laquelle les apparences sont trompeuses.
« Ces mensonges qui nous lient » est un polar au suspense efficace, à l’intrigue bien ficelée et aux rebondissements crédibles. Vite lu et vite oublié, mais néanmoins un roman convaincant et divertissant le temps de sa lecture.
En partenariat avec les Editions Belfond via Netgalley.
#LinwoodBarclay #NetGalleyFrance
Présentation par l’éditeur:
« Ton papa n’est pas quelqu’un de bien. Ton papa a tué des gens, mon grand. »
Tels sont les derniers mots prononcés par le père de Jack avant d’abandonner femme et enfant pour plonger dans l’anonymat du programme de protection des témoins.
Des années plus tard, Jack, devenu écrivain au succès mitigé, est recruté par les U.S. Marshals. Sa mission : rédiger des biographies pour ceux qui, comme son père, se retrouvent contraints de rejeter leur passé et de vivre sous une identité toute neuve, insoupçonnable.
Un signe du destin ! Car Jack cherche depuis toujours à reprendre contact avec son paternel. Mais comment faire quand tout a été mis en place pour le rendre introuvable ? Sans compter que Jack ne sait rien des méfaits de son père, ni de ses ennemis…
